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Un vêtement vegan c’est quoi ?

Digne d’une véritable révolution textile, cette démarche éco-responsable est privilégiée par une économie circulaire qui sépare les nutriments bios des entrants techniques. Et qui donc ne laisse entrer dans la biosphère que les matières organiques. Les matières animales ne sont également plus indispensables à la fabrication de vêtements et accessoires. Ainsi l’industrie textile peut désormais éviter la souffrance infligée aux animaux et créer des vêtements vegans.

Des partenaires vegan

L’Atelier textile est spécialisé dans l’impression textile. Nous ne faisons pas la confection de vetement. Pour celà nous faisons appel à des fournisseurs. C’est pourquoi dans une démarche responsable et éthique, nous avons choisit de travailler avec Stanley Stella en accord avec nos valeurs. La souffrance animale ne doit plus être laissé de côté. Tout les textiles provenant de Stanley Stella sont suivi par le label Vegan Peta 

Les matériaux utilisés pour la fabrication de leurs produits sont approuvés par l’association PETA. Car ils sont naturels, responsables et pourvus de toute matière animale. L’association PETA milite afin de protéger les droits des animaux, et de s’assurer de leur respect au même titre qu’un humain. Pourquoi passer par la souffrance animale quand on peut faire en sorte que tous les vêtements fabriqués dans l’industrie textile soient des vêtements éthiques ? Nous tenons particulièrement à créer nos produits en minimisant l’impact sur l’environnement, puisque sans notre belle Nature, nous ne sommes finalement pas grand-chose. Il existe plusieurs types de productions alternatives aux productions classiques :

Le Vegan Tricot

Qui dit gamme vegan, dit pas de laine. Il existe aujourd’hui d’autres moyens pour tricoter sans avoir à raser un seul mouton. Le lin est l’une des matières organiques la plus réputée pour tricoter éthiquement. En effet, il s’agit tout simplement d’une plante qui ne demande pas beaucoup d’engrais pour pousser correctement. Elle est d’ailleurs très souvent sauvage et non cultivée. Puisqu’elle utilise les ressources naturelles de la terre. Mais comment transformer sans attaquer l’environnement ? Et bien c’est finalement très simple : grâce à la pluie, à la lumière et aux bactéries. La paille accrochée à la fibre du lin se détache toute seule. Bien évidemment, il faut veiller à retirer le lin du champ avant que la fibre ne soit elle-même abîmée.

Cependant, tout cela ne laisse aucun déchet au sol puisque la plante est biodégradable. Tout le reste des démarches de transformation se font de manière mécanique. Donc non polluante. En effet le lin passe d’abord par l’étape du teillage qui consiste à broyer les tiges entre des rouleaux pour retirer totalement l’écorce qui se trouve autour de la fibre. Une fois cela fait, on se retrouve avec des filasses de lin qu’on va peigner pour éliminer les possibles résidus. Et ensuite, diviser la matière en des faisceaux un peu plus fins.

La transformation du lin en fil

C’est seulement après tout cela qu’on peut transformer le lin en véritable fil : on étale les faisceaux comme s’ils étaient des rubans puis on recommence à les peigner, cette fois en les étirant un maximum pour qu’ils puissent se dédoubler. On trempe les mèches dans de l’eau chaude pour les rendre plus molles. Et c’est après cela qu’elles ne forment qu’un seul fil. Enfin vient l’étape du tissage où l’un des tisseurs choisit son fil pour créer de nouvelles pièces uniques.

Et une fois qu’il est temps de teindre, on peut même trouver des teintures naturelles faites à partir de n’importe quelle plante. Car toutes les plantes peuvent donner une couleur, que ce soit une écorce d’arbre ou bien une jolie rose. Cela nous laisse avec une pelote toute douce, vegan et biodégradable ! Et même si le lin n’est pas votre dada, le vegan tricot permet d’utiliser bien d’autres matières végétales telles que le bambou, ou même le chanvre !

Les vêtements bios

Très réputé en ce moment, nous utilisons pour la fabrication de nos vêtements du coton biologique. Le coton est l’une des matières qui met le plus de temps à se décomposer dans la nature, et beaucoup d’entre nous le savent. Mais lors de sa production, l’impact sur l’environnement est encore plus grand. On compte environ 5263 litres d’eau pour produire 1 kilo de coton. En gros, produire 1 kilo de coton peut assécher tout un village, voire une région.

Mais si l’on va plus loin dans la découverte de la production, beaucoup d’engrais et de pesticides sont utilisés. Ce qui non seulement pollue la nature, mais intoxique également les agriculteurs. Car ils travaillent dans les champs et respirent par conséquent les produits nocifs, ce qui peut les rendre gravement malades. Là est tout l’intérêt du coton bio. On consomme moins d’eau pour produire la même quantité de coton, on utilise du compost à la place des engrais. On aboli les pesticides. En assurant une absence totale de colorants, ce qui en plus a pour effet de réduire les effets allergènes. Qui peuvent être constatés dans les productions de vêtements en coton classique. Et pour couronner le tout, si l’on utilise cette matière pour fabriquer des vêtements, on se retrouve avec des habits bios. Et une qualité de coton bien plus douce et plus épaisse !

Comment prendre soin de son textile bio ?

Très souvent lorsque nous achetons un vêtement, nous avons pour habitude de le laver. Avant de le porter, pour des questions d’hygiène. Mais aussi pour éviter que les métaux lourds des colorants ne nous provoquent une quelconque allergie. Or lorsqu’il s’agit de matières biologiques, il y a un toujours un risque de faire rétrécir le vêtement. Ou tout simplement de l’abîmer, et ce n’est certainement pas ce que nous voulons ! Comme pour tout vêtement, il faut tout d’abord regarder l’étiquette qui indique à quel degrés nettoyer. Et surtout bien séparer les couleurs claires des couleurs sombres. Jusque là, rien d’exceptionnel.

Si vous souhaitez rester dans une optique responsable, il existe aujourd’hui des lessives dites « éco-responsables ». Qui certes, sont un peu plus chères, mais qui font très bien le boulot. Ensuite, il vous suffit simplement de mettre votre linge trié dans votre machine à laver. Sans trop la remplir pour éviter que le tambour compresse les vêtements. Et qu’ils puissent être parfaitement nettoyés. Attention à ne jamais excéder 40°. Car plus la température est basse, mieux la matière se porte, surtout lorsqu’il s’agit de lin ou de coton bio !

Pour faire sécher votre linge, rien ne vaut un bon étendoir. A l’air libre ou dans la maison, mais surtout, évitez le sèche-linge automatique. Il pourrait à nouveau risquer d’abîmer la matière. Et c’est comme cela que vous prendrez soin de vos nouveaux vêtements éthiques. Pour leur assurer une longue et belle vie dans votre dressing responsable !

Qu’est-ce qu’un dressing responsable ?

Tout le monde sait ce qu’est un dressing. Bien évidemment, mais il est aujourd’hui considéré comme « responsable » à partir du moment où vous faites le choix de faire attention aux matériaux utilisés lors de la production de vos vêtements. Dans ce genre de dressing, on peut facilement trouver des chaussures vegan, des totes bag en matières biologiques, des chaussettes en lin…en bref, tout vêtement fabriqué sans faire de mal ni à la faune ni à la flore !

Changer un peu le type de vêtements que nous portons n’est finalement pas si compliqué. Car nous avons aujourd’hui des alternatives à la laine, au coton polluant, au cuir… On peut même utiliser des cotons en fibres réutilisables pour se nettoyer la peau. Pour retirer son vernis ou se démaquiller. Et il existe aussi aujourd’hui des serviettes hygiéniques en tissu lavable. Ou même des brosses à dents faites entièrement en bambou pour éviter de jeter encore plus de plastique dans la nature.

Le coût à l’achat est certainement un peu plus important. Mais sur le long terme, il l’est beaucoup moins.Car un seul produit à une durée de vie plus longue. Et il n’y a plus besoin de racheter encore et encore les mêmes choses ! En bref, de quoi éviter la souffrance animale et la dégradation de la planète ! Oubliez les sacs en peau de croco, les bottes en cuir et les cotons démaquillants. Vous avez désormais le choix et pouvez vous lancer très facilement dans une démarche préservatrice et responsable !

Nos petits créateurs

Au delà de l’impact écologique que nous cherchons à minimiser, cette révolution textile nous pousse à donner leur chance aux petits nouveaux du textile. Nombreux sont ceux qui décident de lancer leur marque, mais par manque de diffusion, de courage ou de moyens, coulent avant même de réussir à flotter.

Aujourd’hui, tout est possible puisque l’Atelier Textile aide les petites marques à se lancer. Après tout, ce n’est pas parce que l’on débute que nos produits sont issus de mauvaise production. Nous préférons la qualité et l’authenticité à la popularité. De plus, vendre de la qualité à de petits créateurs locaux dont les vêtements et accessoires auront une touche de pep’s et d’originalité plutôt qu’à de grandes marques déjà bien assez connues, est quelque chose que nous apprécierons toujours.

Il y a un temps pour tout, et l’heure de laisser entrer la nouveauté sur le marché a sonné. Les jeunes marques sont souvent bien plus soucieuses du respect de l’environnement et passionnés par la mode éthique, et avec notre gamme vegan, nous pouvons satisfaire nombreuses d’entre elles et nous assurer que les vêtements fabriqués à la production sont de qualité. Et tout cela est permit grâce à un nouveau type d’économie.

L’économie circulaire

Un nom qui fait peur, mais des faits très encourageant pour l’avenir de l’industrie. Cette économie a pour but d’éviter le gaspillage des énergies non renouvelables et de limiter celui des matières premières. Dans la pratique, elle est censée réparer les dommages déjà causés auparavant en séparant deux types de matières : les nutriments biologiques et les entrants techniques. Ces derniers sont recyclés, donc bénéficient d’une nouvelle vie tout en gardant la même qualité sans pour autant polluer la biosphère où les nutriments biologiques sont retournés. Donc il n’y a plus de déchets et le cycle de vie d’un produit est bien plus long et contrôlé.

La démarche est également d’éviter l’obsolescence programmée (donc le fait de travailler sur la dégradation rapide d’un produit pour en favoriser le remplacement), et de mettre en valeur l’éco-conception, c’est à dire la fabrication de produit la plus respectueuse de l’environnement possible. Au delà de l’enjeu écologique très clair, cette économie permet un enjeu économique très important. En effet, si on favorise les produits locaux pour éviter par exemple le surplus de transports donc d’émanation toxique, on permet aux petites entreprises locales de se démarquer et se placer au devant de la scène et par conséquent, de créer de nouveaux emplois.

Dans une optique où la population se sent de plus en plus concernée par l’environnement, cette économie aide à répondre aux nouveaux modes de consommation, et à amoindrir les coûts pour que chacun puisse se permettre d’investir dans des produits plus « eco friendly ». L’enjeu est donc avantageux d’un point de vue environnemental mais aussi économique, de quoi faire rêver les nouveaux consommateurs ainsi que les nouveaux entrepreneurs !

Le BIO aujourd’hui ?

Il est donc évident qu’aujourd’hui, entre les chaussures vegan et les écharpes tricotées en lin, tout est mis en œuvre pour trouver des alternatives aux productions textiles classiques. Plus besoin d’user des ressources non-renouvelables, plus besoin de rendre toxiques les terres et les eaux, et plus besoin d’utiliser de matière animale. L’industrie peut fonctionner en respectant l’environnement !

L’Atelier Textile vous propose de nouvelles options de productions bien plus respectueuses de l’environnement en général puisqu’il s’agit d’une cause que nous soutenons avec fierté, et nous nous engageons à vendre de la qualité et uniquement de la qualité. La totalité de nos produits sont vérifiés, afin d’avoir la certitude  d’offrir au client une véritable satisfaction ! Respecter la Nature, c’est également respecter les acheteurs qui s’attendent à recevoir de vrais produits, sans que la quantité de production ne soit un frein à sa qualité.